Divios
Les Héritiers du Cardolan :: QUARTIER DE KADAR-HIL (section RP) :: Fort Ragrim :: Fiches personnages
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Un peu de souvenirs vaut mieux qu'une longue description:
J'ai découvert un pays magnifique, le pays de Dun. J'y ai fait la connaissance d'un peuple guerrier et rustique, mais empreint de sagesse et ne cherchant pas le pouvoir au delà des limite des villages et des clans. Grâce à l'aide apportée a une jeune femme prisonnière, j'ai été accueilli dans le clan du Cerf, où j'ai pu, grâce a mes connaissances du combat et de l’ennemi, rendre service à divers personnes. En partie à l'aide de mes conseils, ils ont refusé la main tendue par Saroumane, qui les aurait entrainé dans la guerre, et probablement pire.
Je me suis lié d'amitié avec l'Ancien du village, un homme qui ne se confie pas facilement à un étranger, mais qui curieusement m'a fait découvrir son peuple et son pays, l'un comme l'autre magnifiques.
https://i.servimg.com/u/f49/16/49/50/83/screen22.jpg
Cette terre, il me semblait l'avoir déjà vue en rêve, étrangement familière...
Un soir, l'Ancien m'a pris a l'écart, et m'a révélé un secret qui est en train de bouleverser mon existence: Alors que je me baignait dans l'eau de la rivière qui coule au pied du village, un des hommes a remarqué le tatouage que je portais sur l'épaule. Ce tatouage, je le porte depuis que je suis enfant, je ne me souvient pas ne pas l'avoir eu, je ne peux lui donner une origine.
L'Ancien, sans détour, m'a dit qu'il me connaissait :
" Un enfant qui portait ce symbole, tatoué dès la prime enfance, comme c'est la coutume dans les Clans, a habité il y a des années dans les collines non loin. Ce tatouage ravive en moi une histoire tragique et douloureuse, l'histoire d'une femme du pays de Dun, tombée amoureuse d'un émissaire Rohirrim venu négocier la paix. Ce cavalier, sa mission terminée, a renoncé aux vertes prairies de son Rohan natal, ou paissent des chevaux qui sont, dit-on, les égaux des hommes de ce pays. Il est revenu habiter près de la femme et ils ont eu un enfant, adopté par le clan malgré quelques réticences, et a cet enfant fut tatoué ce symbole, preuve de son appartenance au Clan du Cerf.
La famille fut vaguement exclue de la vie du village, nos traditions interdisant que le Duvodiad (étranger) s'installe parmi nous; Ils durent vivre a l'écart, sans protection, heureux toutefois, à ce qu'il semble. Puis ce fut la guerre, la trêve fut rompue comme c'est si souvent le cas, les éleveurs de chevaux reprirent leurs raids sur les clans, a moins que ce ne fut le contraire, au début, je ne me souvient pas.
Alors que l'homme était parti chasser, emmenant l'enfant pour lui apprendre a monter a cheval, comme c'est la tradition chez eux dès le plus jeune age, La femme, dont le nom a été effacé de la mémoire des anciens, fut assassinée par ceux du clan du Dragon. Nos jeunes auraient pu s'y opposer, ils ne l'ont pas fait; En ces temps de guerre la haine de l'autre, même ami, n'est jamais loin.
l'homme ne revint jamais. Ni l'enfant. L'homme aurait pu se venger, il était plus fort que nombre de nos guerriers, mais il ne le fit pas. On dit qu'ils fuirent vers le nord. Les nôtres regrettèrent leur lâcheté... (long silence)
...Je suis un de ces hommes qui n'ont rien fait et pas une nuit ou un jour ne passe sans que la douleur de ce souvenir ne brule mon esprit. Tu l'as oublié mais ce tatouage, et plus encore ton regard, prouvent que cet enfant c'est toi. Ton visage et ton nom sont étrangers mais tu es des nôtres. Ceux du clan le savent déjà même si ils ne t'ont rien dit"
Je parti sans dire un mot, l'Ancien respecta mon silence. Je comprends maintenant mon étrange couleur de cheveux, rouge, différente du blond des Rohirrim mes frères que je ne connais pas. Je comprends mon nom différent, ni du Rohan ni du pays de Dun, je comprends mon attirance pour ce pays rocailleux, ses gens durs mais sincères, je le sais comme ils le savent maintenant. Je ne leur en veux pas.
Mon père et moi sommes parti vers le nord, vers le pays de Bree où l'origine du nom est moins importante. Nous sous installâmes au nord de la ville, à Pont-à-Tréteaux, un village frontalier où mon père se remaria. Là commencent mes souvenirs. Le Destin, impitoyable, frappa de nouveau a ma porte quand un des nombreux raids Orcs massacra ma famille mais je restais caché, terrorisé. Le Destin me remit sur la route, maintenant il me met en face de mon passé.
J'ai découvert un pays magnifique, le pays de Dun. J'y ai fait la connaissance d'un peuple guerrier et rustique, mais empreint de sagesse et ne cherchant pas le pouvoir au delà des limite des villages et des clans. Grâce à l'aide apportée a une jeune femme prisonnière, j'ai été accueilli dans le clan du Cerf, où j'ai pu, grâce a mes connaissances du combat et de l’ennemi, rendre service à divers personnes. En partie à l'aide de mes conseils, ils ont refusé la main tendue par Saroumane, qui les aurait entrainé dans la guerre, et probablement pire.
Je me suis lié d'amitié avec l'Ancien du village, un homme qui ne se confie pas facilement à un étranger, mais qui curieusement m'a fait découvrir son peuple et son pays, l'un comme l'autre magnifiques.
https://i.servimg.com/u/f49/16/49/50/83/screen22.jpg
Cette terre, il me semblait l'avoir déjà vue en rêve, étrangement familière...
Un soir, l'Ancien m'a pris a l'écart, et m'a révélé un secret qui est en train de bouleverser mon existence: Alors que je me baignait dans l'eau de la rivière qui coule au pied du village, un des hommes a remarqué le tatouage que je portais sur l'épaule. Ce tatouage, je le porte depuis que je suis enfant, je ne me souvient pas ne pas l'avoir eu, je ne peux lui donner une origine.
L'Ancien, sans détour, m'a dit qu'il me connaissait :
" Un enfant qui portait ce symbole, tatoué dès la prime enfance, comme c'est la coutume dans les Clans, a habité il y a des années dans les collines non loin. Ce tatouage ravive en moi une histoire tragique et douloureuse, l'histoire d'une femme du pays de Dun, tombée amoureuse d'un émissaire Rohirrim venu négocier la paix. Ce cavalier, sa mission terminée, a renoncé aux vertes prairies de son Rohan natal, ou paissent des chevaux qui sont, dit-on, les égaux des hommes de ce pays. Il est revenu habiter près de la femme et ils ont eu un enfant, adopté par le clan malgré quelques réticences, et a cet enfant fut tatoué ce symbole, preuve de son appartenance au Clan du Cerf.
La famille fut vaguement exclue de la vie du village, nos traditions interdisant que le Duvodiad (étranger) s'installe parmi nous; Ils durent vivre a l'écart, sans protection, heureux toutefois, à ce qu'il semble. Puis ce fut la guerre, la trêve fut rompue comme c'est si souvent le cas, les éleveurs de chevaux reprirent leurs raids sur les clans, a moins que ce ne fut le contraire, au début, je ne me souvient pas.
Alors que l'homme était parti chasser, emmenant l'enfant pour lui apprendre a monter a cheval, comme c'est la tradition chez eux dès le plus jeune age, La femme, dont le nom a été effacé de la mémoire des anciens, fut assassinée par ceux du clan du Dragon. Nos jeunes auraient pu s'y opposer, ils ne l'ont pas fait; En ces temps de guerre la haine de l'autre, même ami, n'est jamais loin.
l'homme ne revint jamais. Ni l'enfant. L'homme aurait pu se venger, il était plus fort que nombre de nos guerriers, mais il ne le fit pas. On dit qu'ils fuirent vers le nord. Les nôtres regrettèrent leur lâcheté... (long silence)
...Je suis un de ces hommes qui n'ont rien fait et pas une nuit ou un jour ne passe sans que la douleur de ce souvenir ne brule mon esprit. Tu l'as oublié mais ce tatouage, et plus encore ton regard, prouvent que cet enfant c'est toi. Ton visage et ton nom sont étrangers mais tu es des nôtres. Ceux du clan le savent déjà même si ils ne t'ont rien dit"
Je parti sans dire un mot, l'Ancien respecta mon silence. Je comprends maintenant mon étrange couleur de cheveux, rouge, différente du blond des Rohirrim mes frères que je ne connais pas. Je comprends mon nom différent, ni du Rohan ni du pays de Dun, je comprends mon attirance pour ce pays rocailleux, ses gens durs mais sincères, je le sais comme ils le savent maintenant. Je ne leur en veux pas.
Mon père et moi sommes parti vers le nord, vers le pays de Bree où l'origine du nom est moins importante. Nous sous installâmes au nord de la ville, à Pont-à-Tréteaux, un village frontalier où mon père se remaria. Là commencent mes souvenirs. Le Destin, impitoyable, frappa de nouveau a ma porte quand un des nombreux raids Orcs massacra ma famille mais je restais caché, terrorisé. Le Destin me remit sur la route, maintenant il me met en face de mon passé.
Divios- Nombre de messages : 63
Date d'inscription : 13/07/2012
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